« Je savais que, si je quittais Cuba, j’allais sûrement vivre mieux, mais je ne pourrais pas écrire. À Cuba, j’allais vivre très mal, mais j’allais écrire. Mon choix était fait. »
Leonardo Padura, dans « Leonardo Padura, Le Havanais universel »,
Le Magazine littéraire, n° 569-570,Juillet-Août 2016, page 77.